ENG:

Carry the herd above
Over the Mountains tops
Carrying a world of life
Carry
Carry
Keeping a part of light
Carry
Carry

FR:

Transporter le troupeau vers le haut
Sur les sommets des montagnes
Portant un monde de vie
Porter
Porter
Garder une part de lumière
Porter
Porter

There I go,
Saying no,
When I wish I could stay,
Why so slow?
Guess I know,
That it's going that way,
With so many boys and girls to keep me company,
I may play til break of day,
But one thing I still see.

That sweet smile,
All the while,
Hasn’t faded a touch,
And that laugh,
Somewhat daft,
Is still never too much.

Anyway,
I always say,
At the end of the day,
It’s time to get pretty in pink,
Before we put it to bed,
Let’s have another drink.

I’ve seen shots and I’ve seen stars,
And I’ve seen hurricanes,
But despite these dizzy heights,
One thing remains the same.

That sweet smile,
All the while,
Hasn’t faded a touch,
And that laugh,
Somewhat daft,
Is still never too much.

Anyway,
I always say,
At the end of the day,
It’s time to get pretty in pink,
Before we put it to bed,
Let’s have another,
Oh honey -
How about another?
Put it to bed,
Let’s have another drink.

LES ANGESÉtaient-ce les humeurs de l’automne Mélancolie des feuilles sous les ormes Était-ce la couleur de l’air, la douceur de l’eau Tout ce qui fait encore danser les roseauxÉtait-ce la béance de ton cœur
La triste précision des longues heures
Ou était-ce le fond du temps, le fond des gens, Profondément, les vivants...?Il est trop tôt ce soir
Au bord des battants noirs La lune n’a pas eu le temps De dissuader le vent.Était-ce la hauteur des étoiles
Qui ont soudain hissé leurs grandes voiles Emmenant avec elle, les fées
Dérobant la brillance de l’étéLes angesÉtait-ce l’insouciance du hasard Que l’on a vu sortir trop en retard Et qui sous ta fenêtre a oublié L’appel du temps, l’éternité.Il est trop tôt ce soir
Au bord des battants noirs La lune n’a pas eu le temps De dissuader le ventÉtait-ce la figure du triste monde
Colère de la mer qui monte
Était-ce le fond des villes, les ports trop loin L’indifférence de chaque matin.Était-ce l’impuissance de tes peurs
Les mains vides de sens, dans l’ampleur Adieu le sort, adieu l’exil
Adieu l’existence tranquille.