Il y avait des feux dans ma têteEt le souvenir reste toujoursIl y avait des pouvoirs dans ton âmeQui prennent les rênes partout.Ames menteuses dans ta têteQui restent à mes côtésQui continuent à courir de toute façonMarchant plus près sur ta voie.Dis-moi que ta vie est ici mêmeOu approche-toi ici-mêmeViens et entre dans ma journéeEt ne désire jamais cette prièrePas de mensonge entre nousPas de malice, tu voisIl n’y a pas de soucis dans ton âmeElève-toi au-dessus des cascades

J'aime ma patrie, mais d'un amour étrangeQue ma raison ne saurait étouffer.Ni la gloire du pays, payée au prix du sang,Ni son repos que procure un orgueil assuré,Ni les coutumes issues d'un obscur passéN'éveillent en moi de pensées consolantes.