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Marie BARATON - Chansons
Marie Baraton's warm, vibrant voice brings vividly to life her love songs, co-written with Pierre-André Athané. Tenderly caressing the eternal themes of love, time passing, Paris, the overall effect is a reminder of the not so distant grand epoch of the "chanson réaliste".
Est partie ce matin En traversant la seine Et le trocadero
Comme une sauterelle Elle a en un éclair Sauté sur la Madeleine Foncé vers Turbigo
Mais voilà c’est seulement un rêve Je me réveille et j’me dis : « non ! » Qu’est-ce qu’on deviendrait sans ta silhouette à l’horizon ? Paris sans toi ce s’rait con !
Ne t’en vas pas Jolie tour Eiffel
Continue à gratter le ciel De ta silhouette en dentelles
Jamais sans toi Madam’ tour Eiffel
Tes lumières tes ascenseurs Et ton air vainqueur
Drôle de géante Sur ses pointes de fer La voilà à Denfert A Meudon à Chatou
Et dans une pente Voici qu’elle accélère Renverse des caténaires En hurlant « cassez vous »
Ohlà je m’étais rendormi C’est quoi ce cauchemar c’est pas vrai Sans la tour Eiffel on s’demande bien où ils iraient
Les ricains les japonais
Ne t’en vas pas Jolie tour Eiffel
Continue à gratter le ciel De ta silhouette en dentelles
Jamais sans toi Madam’ tour Eiffel
Tes lumières tes ascenseurs Et ton air vainqueur
La voilà qui danse Avec des airs canailles Dans un bruit de ferraille Elle dit « j’pars à Moscou ! »
Dans toute la France Çà tourne à la pagaille Y’a des trains qui déraillent L’président devient fou
Dans mon rêve elle finit en Chine S’installe tranquillement à Pékin Mais c’est impossible il faut garder ce grand machin Quand bien même il ne sert à rien
Etre un amoureux c’est s’faire déborder par une vague indéterminée Raz de marée imprévu géant Vraiment déroutant Etre un amoureux c’est faire des nœuds avec des sentiments emmêlés Autour desquels émus on s’enroule En perdant la boule On a le cœur grand grand grand comme un océan On fait des conneries
On pleure comme on rit On est tout tremblants On passerait son temps à danser Vers le ciel les deux bras levés Qu’on soit soulevés par le vent Nous semble évident
Quand t’es amoureux tu t’envoles à deux au dessus de ce monde tragique Dans une sorte de téléphérique Plutôt féérique Quand t’es amoureux t’es pas très sérieux T’es comme la guitare des manouches Tu veux que le soleil qui se couche
T’embrasse sur la bouche Tu trouves l’amour beau beau beau comme un paquebot Qu’importe la mer T’en as rien à faire
S’il tombe de l’eau Et dans les bourrasques tu pars Sans aller vraiment quelque part T’es juste un brasier, une boule De feu et de houle
Mais les amoureux sont sur deux étoiles qui s’éloignent un jour tout doucement Quand viennent les désenchantements A la fin du bal D’avoir trop dansé les voilà lassés Voyez leurs deux mains qui se détachent Voyez les pétales qu’on arrache
Aux fleurs de l’été Ils s’en vont au loin loin loin sans comprendre rien Sont aveugles et sourds Ont les bras trop courts
Meurent de chagrin Tous les deux les voilà partis
Dans la ronde des galaxies Et où finit leur histoire ? Dans le grand trou noir
Tender & delicate. Female singer, piano & cello.
歌词
Pour un sourire quand tu passes Quand tu passes ta main Sur mes vingt ans Tes baisers que rien ne remplacent Rien ne remplace ta main …j’oublie le temps…
Pourtant l’on sait que le temps passe Sur les vieux amants Et que soudain l’hiver les glace De cheveux blancs Que souvent leurs rêves s’effacent Meurent quand ils dorment trop longtemps Et le temps passe…
Pour un sourire quand tu passes Quand tu passes ta main Sur mes vingt ans Tes baisers que rien ne remplacent Rien ne remplace ta main …j’oublie le temps…
Pour retenir le temps qui passe Sur les vieux amants Que jamais l’hiver ne remplace Tous leurs printemps Quelques soient les corps qui s’enlacent Si leurs mains se serrent pour longtemps Et l’amour passe…
Pour un sourire quand tu passes Quand tu passes ta main Sur mes vingt ans Tes baisers que rien ne remplacent Rien ne remplace ta main …j’oublie le temps…
Pour arrêter le temps qui passe
Sur les vieux amants Que jamais l’hiver ne les glace De cheveux blancs Que jamais leurs rêves ne se lassent Reste leurs fièvres d’avant La vie se passe…
Mon infidèle innocence Sur la mer beau voilier Tu es partie pour ne plus revenir Sous les grands Alizés
Toute ma vie pour ces étoiles Qui peuplaient mon cœur d’enfant Pour ces trésors ces matins aux yeux purs Ces serments et ces grands sentiments
Je partais pour la bataille Le bras sûr le regard fier Mais j’ai laissé sur le couteau du temps Mes larmes et mon sang Ma vie est un ballon rouge Lâché au vent de l’hiver Un grand oiseau m’accompagne un moment Je m’en vais pour le soleil couchant
Sable de dune Oiseau de lune
Espoir des soirs caressants Mon insouciance, ma transparence Je vous cherche infiniment Ces heures lentes
Me désenchantent Moi qui n’avait peur de rien Pages du livre Qui se délivrent Je ne veux pas savoir la fin
Je voyais ma citadelle Dans un éternel printemps Mais dans ma vie il fait chaud il fait froid
Un jour noir, un jour blanc Près de son château de sable S’endort mon prince charmant Joli amour ô mon soleil caché Je vais te bercer tout doucement
Sable de dune Oiseau de lune
Espoir des soirs caressants Mon insouciance, ma transparence Avec toi elle me revient Ces heures lentes Me désenchantent Mais je n’ai plus peur de rien Pages du livre