Ironic & insistant pop song. Female lead singer, rhythm & electric ...Ironic & insistant pop song. Female lead singer, rhythm & electric violin. 歌词
It’s not those mics called the overheadsAnd it’s not those crystals that fit into the palm of my handsNo they won’t crack the safe where I piled hundreds of words just for youWill you try to keep me even if I never break the silence ?
You’re my doudou boy, you’re my hut, you are my intimate shedI like our groovy love even if we are obviously untuned We’ll have to gambleConceal our secretsWe’ll have to set asideOur rusty stringsLead and metals pointed upon usOur disclocated concertoShine and shine with our groovy frequenciesShall we try to keep on even if we’re never in tune ? You’re my doudou boy, you’re my hut, you are my intimate shedI like our groovy love even if we are obviously untuned And if it was a perfect love, it wouldn’t be the same tuneWouldn’t you miss those dirty sounds… untuned ?Untuned…
Fairy & strange folk ballad. female lead singer, rhythm & trombone.
歌词
The legend of the marvellousJourneys and heroic deedsThe many adventuresOf Prince Bova The mighty BogatyrBegins with the tale of his insidious mother Militrisa KirtiervnaPlotted the deathOf her husbandTsar GuidonSo she could marry her secret lover Tsar Dadon
But when Dadon threwBova into a dungeonMilitrisa’s maternal heartWas deeply touched The mighty BogatyrAnd so she helped Bova to escape His two great powers:Unparalleled strengthAnd unearthly beautyEnabled himTo defeat the forces of evil and find his true love:Druzhevna Zenzeveyvna He then married herAnd he too became a TsarThey had a sonWhom they also called Bova The mighty BogatyrEnds with the tale of his handsome boy Bova the elderWhen his son grew upReturned homeCraving for revengeHe beheaded Dadon and his son was crowned Tsar in his place
Good byeFarewell Today I leaveI can take a plane to anywhereI wonder where you are and if you care I think I’ll go to SaltaA city located inArgentinaI was told there is a Moon ValleyYou might be sleeping there wearily
I’d wake you up with a kiss you’d be my magical dream Life is quite curiousLove is fairly viciousI’m kind of hilariousAll the time That’s my remedyTo this huge comedyI laugh and I peeOn the timeAnd I walk on spaceTo ward off my silly fate If you’re not in SaltaI’ll move up to South Bolivia To UyuniYou might be waiting on l’Isla Del SolSitting on a giant cactus tree And if I don’t find you thereI will take a chance on the Easter IslandIt all comes down to magic over thereIt’s full of stones and undiscovered caves
WaitWait for meWait for me my friendI’ll be back again I watch you walkDown from the windowsill Cause I have to meet my devil tonight WaitWait for meWait for me my friendI’ll be back again I hope you won’t hold it against meCause I swear I’ll make it up to you
NathanaelGrows a new skinAlters his pigmentsOne/We can change… Forget it allFeel everythingBe a filterBy yourself And I will travel inThe fruits and the flavoursI will taste tangerinesI’ll put my tongue in yours I will try everythingI’ll learn it all myselfI’ll keep on digging inI’ll swallow all the earth
A Paris les jours sansJe deviens une étrangèreAveuglée d’un ciel trop blanc Dont la poitrine se serre Dans le froid étouffantL’indifférente atmosphèreLe gris-noir environnant Des avenues sans mystère A Paris les jours sansTu te fermes comme un livreAmour abonné absentPlus rien de moi ne t’enivre Est-ce toi mon amantDans ce regard qui esquiveDans les mots trop hésitantsD’un fantôme à la dérive ? Eternels impatientsSommes nous de gourmandisesD’un bonheur incandescentQui fait fondre la banquise
Réchauffe les continentsRedresse la tour de PiseMets nos voiles sous le ventEt nous emmène à Venise A Paris les jours sansC’est le monde qui me quitteMais que deviendrais-je sansMe blottir toute petite Dans tes bras m’accueillantMe disant « vas pas si vite ! »Un jour avec un jour sansLe bonheur çà se mérite
A Paris les jours sansDe passion je n’en ai qu’uneDes blessures j’en ai centAlors poses sur ma lune Tes deux mains frémissantComme le vent sur la duneQue même par mauvais tempsPlus rien ne nous importune
La tour Eiffel Est partie ce matinEn traversant la seineEt le trocadero Comme une sauterelleElle a en un éclairSauté sur la MadeleineFoncé vers Turbigo Mais voilà c’est seulement un rêveJe me réveille et j’me dis : « non ! »Qu’est-ce qu’on deviendrait sans ta silhouette à l’horizon ?Paris sans toi ce s’rait con ! Ne t’en vas pasJolie tour Eiffel Continue à gratter le cielDe ta silhouette en dentelles Jamais sans toiMadam’ tour Eiffel Tes lumières tes ascenseursEt ton air vainqueur Drôle de géanteSur ses pointes de ferLa voilà à DenfertA Meudon à Chatou Et dans une penteVoici qu’elle accélèreRenverse des caténairesEn hurlant « cassez vous » Ohlà je m’étais rendormiC’est quoi ce cauchemar c’est pas vraiSans la tour Eiffel on s’demande bien où ils iraient Les ricains les japonais
Ne t’en vas pasJolie tour Eiffel Continue à gratter le cielDe ta silhouette en dentelles Jamais sans toiMadam’ tour Eiffel Tes lumières tes ascenseursEt ton air vainqueur La voilà qui danseAvec des airs canaillesDans un bruit de ferrailleElle dit « j’pars à Moscou ! » Dans toute la FranceÇà tourne à la pagailleY’a des trains qui déraillentL’président devient fou Dans mon rêve elle finit en ChineS’installe tranquillement à PékinMais c’est impossible il faut garder ce grand machinQuand bien même il ne sert à rien
Etre un amoureux c’est s’faire déborder par une vague indéterminéeRaz de marée imprévu géantVraiment déroutantEtre un amoureux c’est faire des nœuds avec des sentiments emmêlésAutour desquels émus on s’enrouleEn perdant la bouleOn a le cœur grand grand grand comme un océanOn fait des conneries On pleure comme on ritOn est tout tremblantsOn passerait son temps à danserVers le ciel les deux bras levésQu’on soit soulevés par le ventNous semble évident Quand t’es amoureux tu t’envoles à deux au dessus de ce monde tragiqueDans une sorte de téléphériquePlutôt féériqueQuand t’es amoureux t’es pas très sérieuxT’es comme la guitare des manouchesTu veux que le soleil qui se couche T’embrasse sur la boucheTu trouves l’amour beau beau beau comme un paquebotQu’importe la merT’en as rien à faire S’il tombe de l’eauEt dans les bourrasques tu parsSans aller vraiment quelque partT’es juste un brasier, une bouleDe feu et de houle Mais les amoureux sont sur deux étoiles qui s’éloignent un jour tout doucementQuand viennent les désenchantementsA la fin du balD’avoir trop dansé les voilà lassésVoyez leurs deux mains qui se détachentVoyez les pétales qu’on arrache Aux fleurs de l’étéIls s’en vont au loin loin loin sans comprendre rienSont aveugles et sourdsOnt les bras trop courts Meurent de chagrinTous les deux les voilà partis Dans la ronde des galaxiesEt où finit leur histoire ?Dans le grand trou noir
Là haut près du ciel tu marches sur un filJ’ai calmé ma peur pour t’y retrouverUn seul souffle d’air nous ferait tomberTout est si fragile Pourtant peu à peuEn fermant les yeuxNos mains se découvrentNos corps se retrouvent On est juste l’un et l’autre qui s’aimentOn est juste l’un et l’autre qui s’aimentC’est tombé sur nous Comme çà d’un seul coupÇà donne même la frousse On est juste l’un et l’autre qui s’aimentOn est juste une femme et un homme qui s’aimentC’est pas si souventQu’on croise le ventDe la folie douce Un jour tu m’appelles du bout de la terreJ’écoute ta voix qui vient, qui s’enfuitChez toi c’est le jour chez moi c’est la nuit Et mon cœur se serre Pourtant peu à peuEn fermant les yeux Nos mots se découvrentNos âmes se retrouvent On est juste l’un et l’autre qui s’aimentOn est juste l’un et l’autre qui s’aimentC’est tombé sur nous Comme çà d’un seul coupÇà donne même la frousse On est juste l’un et l’autre qui s’aimentOn est juste une femme et un homme qui s’aimentC’est pas si souventQu’on croise le ventDe la folie douce Et si d’aventure l’image s’arrêteJe sais malgré tout qu’on va se croiserDes années plus tard un beau soir d’étéComme un jour de fête Et là peu à peuEn fermant les yeuxNos mains se découvrentNos corps se retrouvent … On est juste l’un et l’autre qui s’aimentOn est juste l’un et l’autre qui s’aimentC’est tombé sur nous Comme çà d’un seul coupÇà donne même la frousse On est juste l’un et l’autre qui s’aimentOn est juste une femme et un homme qui s’aimentC’est pas si souventQu’on croise le ventDe la folie douce
A l’abri entre deux collinesY’a un port aux toitures grisesIl est connu pour ses sardinesEt le portail De son église Au bout des plages de galetDes femmes aux bien charmants visagesViennent dire un chagrin discretAux navires qui S’en vont au large Arrêtons nous encoreDans le petit portQuand se lève, chante, ou s’endortLe vent du nord
Un bateau aux longues mâturesVient lentement sur le chenalIl s’avance entre les hauts mursGrand goêlandSous le ciel pâle On donne le bonjour aux marinsOn remarque le capitaineDes jeunes filles agitent leurs mainsRougies de froids Dans les mitaines Près des quais se trouve un jardinOù les pelouses sont vert pommeUne statue blanche s’y tientSans doute celle D’un grand homme Le parc est plein de chaises videsOn se demande à quoi elles pensentAux vielles dames , aux amours timidesA l’hiver Ou à l’innocence